L’hémophilie légère peut être très grave, voire mortelle, si les blessures ou les saignements ne sont pas traités rapidement et de manière adéquate. De nombreuses nouvelles informations sur cette maladie ont été publiées, d’où la nécessité de revoir cette publication dont la première édition remonte à 2007.
Un merci sincère à Michelle Bech (Hôpital St. Paul à Vancouver), Colleen Jones Down (Eastern Health à St. John), JoAnn Nilson (Royal University Hospital à Saskatoon), Dre Oksana Prokopchuk-Gauk (Royal University Hospital à Saskatoon), et Marie-Hélène Thompson (CHUS – Hôpital Fleurimont à Sherbrooke), pour leur engagement et leur expertise dans la révision de la publication.